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Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 13 Jul 2009 18:57
por mayhem
Ay dios que ya empieza.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 13 Jul 2009 18:59
por Huelebien
Aucun peuple civilisé de l'Europe ne peut être considéré comme tel si n'y a pas de constance de mouvements terroristes dans sa société il suffisamment des attraits comme pour reblandecer son muscle démocratique.

J'ai dit.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 13 Jul 2009 19:02
por mayhem
Como los de los corsos?

Que, dicho sea de paso: qué poca prensa se le da al terrorismo corso, que lo hay y quizá -sólo quizá, no me he parado a contar víctimas mortales ni daños materiales- más activo que ETA a fecha de hoy.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 13 Jul 2009 19:23
por Pepegut
Por Dios, Sixto, búscate un hobby.

¿Maquetas?

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 13 Jul 2009 19:31
por Nicotin
mayhem escribió:Ay dios que ya empieza.


Imagen

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[youtube]7KVZ8e3XkzI[/youtube]

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 14 Jul 2009 13:46
por puagh
Huelebien escribió:Aucun peuple civilisé de l'Europe ne peut être considéré comme tel si n'y a pas de constance de mouvements terroristes dans sa société il suffisamment des attraits comme pour reblandecer son muscle démocratique.

J'ai dit.


Tout cela tu l'avait dejà dit à Plate-forme.

Et reblandecer n'existe pas, Galicien des couilles. Tu voulais dire ramoullir

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 14 Jul 2009 16:30
por Huelebien
Plate-forme a son germe créateur dans deux passions, qui sont en réalité deux doutes existentiels: l'une est la violence comme anathème humain moderne; c'est-à-dire: la violence comme copie de l'expression sexuelle masculine; et l'autre est la fascination par la paix trompeuse que le coñé d'une femme représente pour un homme.

(Je crois que le bien appelé Puagh a entendu la Plate-forme presque si mal comme le reste des espagnols qui me félicitent pour elle. Il n'arrive pas à l'extrémité d'analphabétisme fonctionnel de Juan Echanove et de Calixto Bieito, mais presque. Mon petit ami Arrabal avait raison: l'Espagne est un pays de mandrills avec cerveau de laitue.)

Encore une chose : n'importe quelle langue qui ne me permet pas d'exprimer mes idées avec mots si epatantes comme "reblandecer" ou "perrecha", n'est pas une langue qui mérite de mes attentions dans son traité le plus pur, mais une langue qui mérite d'être mutadé, mutilé, travestidé et pervertidé.

Sans aller plus loin, un Andalou devrait savoir assez de maltraiter la langue.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 15 Jul 2009 16:39
por Hombre Sensible
De los vicios pasados

Y ya no me interesas como historia
que contar con arte y a degüello:
tu amor fue una estafa giratoria
en vísperas de hacerse invierno.

Pero una raya no hace tormento,
así como tormenta sí hace un rayo:
huracanado azar, nariz de palo;
navidad sin virgen ni nacimiento.

Ahora soy por fin un hombre nuevo,
y en el cénit de mi aburguesamiento
no hay calma que mi nostalgia taladre...

...Mas en verdad sigo añorando el cielo
del que robaba las nubes mi viento,
galvánico pirata del desmadre.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 15 Jul 2009 17:02
por Huelebien
Avec vous, les formes classiques. Ah, le sonnet! Selon sa biographie, La fontaine de sang de Baudalaire a été l'une des plus stupéfiantes inspirations de l'homme Sensible, jusqu'au point dont il a été sur le point de, il a obtenu un titre, son premier livre (préfacé par le Monsieur Buen Buche) "Colchón de agujas", dans un honneur au dernier vers du poème cité ("Mais l'amour n'est pour moi qu'un matelas d'aiguilles/ fait pour donner à boire à ces cruelles filles!").

Et bien: qu'est-ce que nous avons ici ? Donc puisqu'un sonnet de doctrine obscure, aussi obscure que l'addiction à la drogue (que, sans doute, l'auteur partage avec son admiré, bien qu'estilíticamente équidistant, Baudelaire) qui est résolu par brillance à travers des métaphores lumineuses, lúdicamente graphiques, lugubrement délicieuses.

À ressortir ressortir ce vers avant-dernier (aussi comme il succède avec La fontaine de sang, du meilleur du poème), et cette dernière métaphore: "Mas en verdad sigo añorando el cielo / del que robaba las nubes mi viento."

Les nuages comme la cocaïne et le vent non seul comme le fait vulgaire d'aspirer, mais comme l'addiction impétueuse et puissante. Pour le poète il est clair que si Prometeo a volé le feu aux dieux et il a révélé avec cela la technologie à l'homme, le toxicomane vole les nuages au ciel, et avec cela il réclame son indépendance de Dieu et de ses propres lois. Coléreux.

Avec ce sonnet surprenant, l'Homme sensible recommence à nous surprendre avec son verbe simple et sa poésie lyrique atroce.

Re: El loco hilo de poemas del Hombre Sensible

Publicado: 15 Jul 2009 17:12
por Cañita Brava
A ver, yo voy a dar mi opinión, y ya digo que es mi opinión, y que tengo derecho a expresarla.

A mí (a mí) no me parece que el soneto sea gran cosa; sin creer que es un enorme truño de mono borracho me parece (me parece) que es un poco simplón, que está descompasado rítmicamente y que, además, incorpora imágenes poéticas confusas que no tienen mucho sentido, sobre todo en el segundo cuarteto (¿huracanado azar? ¿qué azar? ¿¿nariz de palo??).

En fin, que sé que nadie se tomará en serio mi crítica porque todos dirán: ay que cañita es tonto, ay que cañita tiene un retraso como un planeta, y esas cosas, y me tirarán tomates y otras hortalizas divertidas para reírse en lugar de explorar mi bello interior.